Intérieurs du 20e siècle ou l'adrénaline à son plus haut

Ce qu'il y a de bien avec des copains qui emménagent dans un nouveau lieu de vie, c'est qu'on parle déco, carreaux et peaux d'animaux ! Je reviendrai prochainement sur ces deux derniers thèmes pour leur accorder toute la place qu'ils méritent, étant donné celle qu'ils ont occupé lors de nos discussions...

Donc on a parlé déco. Et de la recherche de certaines pièces, qui les a conduits à être en veille très active et à identifier une vente organisée par Artcurial lundi dernier. Lui me dit innocemment "Tu es au courant de la prochaine vente Poulain-Le Fur ?" Moi "Non" "?" "!!!" Et lui de me dire ce qu'il y a repéré. J'attrape mon smartphone, saisis les infos dans la barre de recherche, arrive sur le site, clique sur le lien et là, le catalogue. LE catalogue. Je sais déjà que je me débrouillerai pour y être, pour voir de mes yeux ces objets et retrouver l'émotion de mon enfance, lorsque ma mère me prenait pour la main le dimanche matin pour aller à l'Hôtel des Ventes, notre voisin mitoyen...

Lundi soir, très tard, après une journée complète d'enchères menées au son du marteau et des interventions ciselées de François Tajan, 545 lots ont été dispersés.

Extraits :

J'ai été éblouie par cette banquette de Pierre Paulin (1952-1953) fabriquée par Quin.

Crédit photo : Artcurial

Et notre coup de foudre a été pour la lampe Aloa de Claudio Salocchi, éditée par Sormani en 1971 et que nous aurions bien vue chez nous...